Quand mon cœur ne pourra ressentir
Ni douleur, ni bonheur, ni joie
Quand ma bouche ne pourra plus te dire
Je suis là, si t’as besoin de moi
Quand mon corps ne sera plus que cendre
Et que je ne pourrai plus t’entendre
Mon ami, te souviendras-tu de moi (bis)
Quand mes mains ne pourront plus jouer
Que ma guitare sera au grenier
Quand mon chien aura faim, aura froid
Et qu’il ira mendier chez toi
Quand la mort viendra voler mon âme
Que le temps aura séché les larmes
Mon ami, te souviendras-tu de moi (bis)
Quand je m’en irai
Quand je serai loin, loin, loin
Le temps va passer
Je ne serai plus rien, rien, rien
Si tu m’as oublié …oublié …oublié
Quand tu iras marcher dans les rues
Où nous avons traîné si souvent
Quand tu retrouveras les photos
D'un passé où nous avions le temps
Quand tu fredonneras nos vieilles rengaines
Quand tu reliras les poèmes de Verlaine
Mon ami, te souviendras-tu de moi (bis)
Une chanson presque perdue, oubliée dans mes tiroirs.
Le temps passé là lui a donné encore plus de pertinence aujourd’hui.
Photo: Jef Maion
